Mignon comme un cupcake !

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Si vous préparez un examen d’anglais, ou si vous projetez de partir en vacances dans un pays anglophone, je vous conseille d’emporter partout avec vous « Meet me at the cupcake café », de Jenny Colgan !

Voilà une bonne chick lit comme on les aime : girly et gourmande à souhait, avec des recettes sucrées au début de chaque chapitre.

L’histoire est aussi tendre qu’un glaçage à la cerise. D’ailleurs, la couverture annonce la couleur : rose ! Rose, comme la cuisine de l’héroïne, Issy. C’est là qu’elle passe ses plus beaux moments. En décorant ses cupcakes, elle oublie tous ses soucis : sa mère démissionnaire et son travail ennuyeux comme la pluie.  Sa passion pour la pâtisserie, elle la doit à son grand-père (en prime d’un sacré caractère)… Mais, de là à en faire son métier, c’est une autre histoire ! Et nous voilà au cœur (grenadine !) de l’intrigue : Osera-t-elle faire le grand saut, ouvrir son propre salon de thé (ou de café ! Olé, olé !), et rencontrer l’amour ? That is the question !

Plus d’infos : http://www.jennycolgan.com/ 

Vous avez aimé « Meet me at the cupcake café » ? Vous adorerez « La petite boulangerie du bout du monde », du même auteur ! Pour en savoir plus, cliquez ici

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L’interview / Polly Waterford, boulangère du bout du monde

A l’occasion de la sortie en France de « Une saison à la petite Boulangerie » (la très attendue suite de « La Petite Boulangerie du bout du Monde » de Jenny Colgan), nous avons rencontré l’héroïne de l’histoire, Polly Waterford. Et c’est bien sûr couverte de farine qu’elle nous a reçus dans sa jolie petite boutique !…

Quand rien ne va, pourquoi ne pas tout recommencer ? C’est le défi que s’est lancé Polly Waterford ! A la fermeture de son entreprise, elle décide de faire le grand saut et de tout quitter pour s’installer dans un petit village de Cornouailles. Peu à peu, sa véritable passion s’impose à elle : elle se met à confectionner des petits pains, inventant mille et une recettes pour son plaisir, et bientôt celui de tous les villageois. Rencontre avec Polly, la boulangère du bout du monde.

Polly, vous avez un bien drôle de petit compagnon, perché sur votre épaule !… 

Polly Waterford 1Oui, c’est Neil, mon macareux ! Figurez-vous qu’il adore mes petits pains à la cannelle ! Lorsque je l’ai recueilli, il n’était encore qu’un tout petit oiseau : il savait à peine voler. Mais, quelle peur il m’a faite ! Il faut dire qu’à l’époque, je n’étais pas encore habituée aux bruits de la mer, et cette maison craquait à tous les vents. Ce soir-là,  j’avais encore toutes les peines du monde à m’endormir. C’est alors que j’ai entendu un cri à vous faire dresser les cheveux sur la tête ! Ça venait du rez-de-chaussée. Une des vitres était cassée. Au début, j’ai cru à un voleur, ou pire. Vous savez, une femme seule dans un village, ça se repère vite. Et puis, je l’ai vu, tout petit, apeuré, osant à peine bouger. Son aile était cassé. Je l’ai soigné, et… on peut dire qu’il m’a adoptée !

Qu’est ce qui vous a amenée à Mount Polbearne ? 

Je voulais repartir à zéro. De toutes façons, je n’avais plus le choix : mon entreprise avait coulé – J’étais commerciale dans une agence de graphisme. Quant à celui que je considérais comme l’homme de ma vie… Disons qu’on avait besoin de s’éloigner l’un de l’autre. Le seul appartement que j’avais les moyens de louer était ici, sur cette île des Cornouailles. Les débuts ont été difficiles : je quittais Plymouth, ma vie de femme d’affaires, mes amis et le bel appartement que nous occupions, pour m’installer au premier étage d’une maison poussiéreuse et humide… et sans le moindre emploi à l’horizon.

Et pourtant, vous avez rebondi ! Comment êtes-vous devenue la boulangère de Mount Polbearne ? 

Oh, c’est une longue histoire ! (Rires) J’ai toujours aimé faire mon pain. D’ailleurs, quand mon entreprise a commencé à battre de l’aile, je me réfugiais dans ma cuisine. C’était comme si j’avais besoin de me prouver que je pouvais réussir quelque chose de mes mains. Quand je suis arrivée à Mount, il y avait bien une boulangerie. Mais, rien de ce que l’on y trouvait n’était bon. Alors, j’ai commencé à faire du pain pour moi-même. Et très vite, j’ai eu mes premières commandes. Sous le manteau, bien sûr. Car, si Gillian Manse, la boulangère (et ma propriétaire, de surcroît), l’apprenait, je pouvais dire adieu à mon appartement… C’est comme ça que je me suis fait mes premiers amis sur l’île et que, petit à petit, j’y ai pris ma place ! 

Regrettez-vous votre ancienne vie à Plymouth ?

Oh que non ! J’ai quitté les paillettes pour faire ma vie « dans le vrai » ! Alors, bien sûr, c’est difficile : je me lève très tôt, il fait froid, je porte des sacs de farine qui pèsent des tonnes, et je dois m’organiser en fonction des marées. Mais quel plaisir de voir lever le pain que l’on a préparé soi-même ! Et quelle satisfaction, quand je vois sourire mes premiers clients. Oui, je suis très fière de ma petite boulangerie du bout du monde !

Propos recueillis par Plume Vanille

la petite boulangerie du bout du mondeLa petite boulangerie du bout du monde, de Jenny Colgan (Titre original : The Little Beach Street Bakery)

  coeur Le cahier de recettes de Polly, annoté d’astuces gourmandes, à la fin du roman 

Une saison à la petite boulangerie

Une saison à la petite boulangerie, de Jenny Colgan (Titre original : Summer at Little Beach Street Bakery)

Plus d’infos : http://www.jennycolgan.com/ 

Vous avez aimé la série « La petite boulangerie », poursuivez votre lecture « Rose Jenny » avec « Meet me at the cupcake café ». Pour en savoir plus, cliquez ici !

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Irrésistible Charlotte

LA VIE EPICEE DE CHARLOTTE LAVIGNE

Elle est craquante, gaffeuse, gourmande, amoureuse et québécoise. Charlotte, c’est la version tornade de l’épicurienne qui se cache en chacun de nous. La trentaine girly, elle mitonne aussi bien qu’elle papillonne, avec l’énergie d’une pile électrique montée sur ressorts. Pourquoi on l’adore ? Peut-être parce qu’elle peut passer des heures à chercher une poêle en forme de coeur, pour « préparer un petit déjeuner d’amoureux », parce qu’elle confond rideau de dentelles et étole chic, ou encore parce qu’elle ose préparer des plats improbables comme une pièce montée en coquilles d’oeufs et à la mousse au chocolat noir. Mais, surtout, parce que Charlotte est une femme intensément libre et indépendante, en dépit de ses amours tumultueuses. Un trait de caractère qui s’intensifie au fil des tomes, la rendant plus attachante encore.

coeur Charlotte, tout simplement !

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Titres actuellement disponibles en France :

Tome 1 : Piment de Cayenne et pouding chômeur 

Tome 2 : Bulles de champagne et sucre à la crème

Tome 3 : Cabernet sauvignon et shortcake aux fraises

Tome 4 : Foie gras au torchon et esquimau aux cerises

Plus d’infos : www.charlottelavigne.com

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